GOUDEAU (Emile). Illustrations de Charles JOUAS. Poèmes parisiens.

Emile Goudeau a fait de Paris son champs d’exploration littéraire tout comme Charles Jouas qui a croqué de multiples paysages parisiens. Ils ont tous les deux déjà fait l’objet de plusieurs pages dans ce blog mais pas encore d’une page commune comme celà va être le cas pour cet ouvrage réalisé sur la commande d’Henri Béraldi . Le talent de Charles Jouas avait été découvert par le célèbre bibiophile qui dans une brève plaquette (5 pages, 2 eaux-fortes de Jouas) à tirage limité (50 exemplaires), « Un illustrateur de Paris, Charles Jouas » (1927), évoque les premiers pas de Charles Jouas dans l’illustration et l’éclosion de son talent.  » Jouas, Parisien, en […]

Paris à travers les âges. Deux bois gravés.

  Lorsque j’ai eu en mains les deux bois qui vont faire l’objet de cette page, j’ignorais de quels ouvrages, ils étaient issus. Il était facile de reconnaître la cour de la prison de La Force mais l’autre bois présentait la cour d’une maison Renaissance et l’indication portée au verso du bois (maison de la rue Saint Paul) n’évoquait pour moi aucun bâtiment de cette rue du Marais. Les bois étaient XIXe, restaient à découvrir les livres qu’ils avaient illustrés. Les bois étaient encrés puis recouverts de blanc de Meudon pour faire ressortir le dessin, l’image après être passée en impression est complètement noire. Les trous sur les tranches supérieure […]

(GUEFFIER). Curiosités de l’Eglise de Notre-Dame de Paris, avec l’explication des tableaux qui ont été donnés par le corps des orfèvres.

  Les pompiers de Paris ont sauvé Notre-Dame qui malgré l’incendie reste debout comme nous l’avons présenté dans notre précédente page de blog : Notre-Dame, infinie tristesse. De nombreux objets et oeuvres d’art auraient pu disparaître dans les flammes, heureusement il n’en est rien. C’est l’occasion de se pencher sur certaines d’entre eux, moins emblématiques que les « icônes » comme la couronne d’épines ou la tunique de Saint-Louis, avec l’ouvrage du jour. Il est anonyme mais une main a porté sur la page de titre le nom de Gueffier. Nous nous interrogions déjà sur la paternité de l’ouvrage pour un autre livre sur la cathédrale présenté dans une page précédente du […]