Ces portraits qui rendent hommage aux jolies femmes, ont été rédigés par les plus célèbres plumes de l’époque. Initialement édités en livraisons au cours des années 1839-1840, ils ont été rassemblés dans notre exemplaire, en deux volumes. La première série est simplement intitulée, Les belles femmes de Paris et est attribuée à des hommes de lettres et des hommes du monde. La première livraison paraît en janvier 1839. Le succès du recueil entraîne la publication, toujours par livraisons d’une deuxième série, Les belles femmes de Paris et de la province et l’anonymat des contributeurs est levé. A celle-ci s’ajoutera, Les lettres aux belles femmes de Paris et de la […]
Ce qui est passionnant avec les livres, c’est qu’ils ouvrent des champs inconnus, riches de découvertes. J’avoue mon ignorance, je ne connaissais pas le délicat poète japonais Tetsuro Furukaki. Nous allons le découvrir ensemble dans un ouvrage de poésie dédié à sa femme, Masko. Tetsuro Furukaki (1900-1987) poète japonais francophile a été ambassadeur du Japon en France. Dans son pays, il a été sénateur, rédacteur en chef du plus grand quotidien japonais, Asahi Shinbun et directeur général de la radiodiffusion japonaise NHK. Il a aussi été président du jury du festival de Cannes en 1962 et membre du jury du même festival en 1966. Avec Paris de mon coeur, […]
Aujourd’hui deux livres à la longue histoire. Rédigés par de célèbres juristes français et espagnol, imprimés au début du XVIe siècle à Paris, ils ont appartenu à un éminent professeur qui enseignait à l’Université de Louvain. De Paris, ils rejoignirent une bibliothèque outre-quiévrain jusqu’au XVIIe siècle après le mystère apparaît. J’ai trouvé ces ouvrages en Normandie et bien entendu aucune trace de leur cheminement. Il y a une éventuelle piste envisageable, un éventuel « désherbage » de la bibliothèque de l’Université de Louvain lorsque sous arrière plan de querelle linguistique, la bibliothèque fut divisée en deux parties pour constituer les nouveaux fonds des deux Universités. Cette situation aurait navré les juristes […]