FARGUE (Léon-Paul). Illustrations de TOUCHAGUES. Charme de Paris .

  Léon-Paul Fargue est un « habitué » de ce site. Il a tellement écrit sur Paris qu’il offre aux lecteurs de multiples découvertes de la capitale. Sa notoriété lui procure des compagnonnages variés pour illustrer ses livres que de nombreux éditeurs exploitent parfois un peu trop, tant le sujet intéresse. Néanmoins la plume de Fargue reste unique pour peindre l’atmosphère d’un Paris aujourd’hui disparu mais révélateur d’une époque où malgré les difficultés des temps, l’espérance restait possible. Avec Charme de Paris, nous sommes en 1945, la capitale sort de quatre années d’occupation et la vie parisienne reprend  son cours même si elle n’avait pas disparu pendant la seconde guerre mondiale. Les […]

YRIARTE (Charles). Paris grotesque. Les célébrités de la rue. Portraits parisiens. Les Prussiens à Paris et le 18 mars.

  La célébrité que connut Charles Yriarte (1832-1898) en son temps n’a pas survécu aux années. C’est l’occasion de redécouvrir cet écrivain qui utilisait parfois le pseudonyme de marquis de Villemer et qui laissa une œuvre variée. Etudes d’histoire de l’art, récits de voyage, recueil de portraits d’homme célèbres, traductions….Charles Yriarte a aussi publié de nombreux articles dans des journaux comme la Vie parisienne, L’Art, Le Figaro et Le Monde illustré, dont il sera de 1864 à 1870, le rédacteur en chef. Parallèlement à ses activités littéraires, il eut aussi des fonctions publiques. D’abord inspecteur des Asiles impériaux, il sera nommé en 1861 inspecteur des travaux du nouvel Opéra de […]

BOILEAU-DESPREAUX (Nicolas). Illustrations d’Albert DUBOUT. Les embarras de Paris. DEVAUX (Pierre). Illustrations d’Albert DUBOUT. La rue sans loi.

  Les dessins d’Albert Dubout sont reconnaissables au premier coup d’œil. Ses personnages burlesques et caricaturaux sur fond de couleurs vives et de foules mouvementées, provoquent le sourire. C’est le cas pour les deux ouvrages que nous allons vous présenter. Les embarras de Paris traversent les siècles. Si les rues de Paris connaissaient déjà les encombrements au XVIIe siècle, la circulation reste toujours aléatoire au XXIe. C’est en vers que Nicolas Boileau-Despréaux campe le décor « …Six chevaux attelé à ce fardeau pesant/Ont peine à l’émouvoir sur le pavé glissant/D’un carrosse en tournant il accroche une roue,/Et du choc le renverse en un grand tas de boue : Quand un autre à […]