Aujourd’hui nous retrouvons Louis Morin que nous avons déjà présenté ici Les dimanches parisiens : et ici : Les cousettes, dans une amusante revue consacrée aux réjouissances de la Belle Epoque. Il présente ainsi son propos : » Cette revue ne sera ni pessimiste, ni réaliste, ni grave, comme la plupart de ses consoeurs. L’art n’est-il pas un jeu, le jeu des bons esprits, qu’il faut ranger au nombre des choses pas bien sérieuses dont parle Renan ? La fantaisiste revue des Quat-Saisons tâchera d’y jouer légèrement, pour le passe-temps des gens décidés d’y jouer légèrement, pour le passe-temps des gens décidés à lutter contre le spleen qui nous […]
Gustave Coquiot que nous avons eu l’occasion de présenter, voir ici : En suivant la Seine et ici : Poupées de Paris. Bibelots de luxe et Jean-Louis Forain voir ici : Nous. Vous. Eux. et ici : La comédie parisienne se sont retrouvés pour cet ouvrage qui décrit avec férocité les personnages parisiens de la Belle Epoque. L’ouvrage était à l’impression quand la Grande Guerre fut déclarée. L’impression reprend à son issue et fut terminée en 1921. » Les Pantins de Paris ! Pantins aux ficelles blanches, bleues, rouges ou jaunes ou vertes; pantins tragiques : pantins comiques; pantins actifs; pantins passifs; pantins d’un jour; pantins de l’année; pantins historiques ou pantins […]
Charles Diguet (1836-1909). Né au Havre, il arrive à Paris en 1861 où il commence à collaborer à des journaux et des revues dramatiques tout en écrivant des romans. C’est dans le d’Artagnan d’Alexandre Dumas père qui patronne ses débuts, qu’il publie ses premiers articles. Son ouvrage » les jolies femmes de Paris » rencontre un franc succès dans la presse parisienne. Il est probable que bien des journalistes fréquentaient ces jolies femmes… A.P.Martial (Adolphe Théodore Jules Martial Potemont dit) (1827-1883) peintre et graveur à l’eau-forte. Après un séjour de dix ans à la Réunion où il produit un important nombres de vues. Il rentre en Métropole où il grave […]