DELORME (Hugues). Illustrations de HEIDBRINCK. Quais et trottoirs.

La Société les Cent Bibliophiles fut créée en 1895 en partie avec les sociétaires des Bibliophiles contemporains. Eugène Rodrigues, avocat allait en assurer la présidence pendant plus de 30 ans. La présidence fut par la suite tenue par Eugène Vever à partir de 1929. C’est Eugène Rodrigues ami et bibliographe de Félicien Rops et de Louis Legrand qui donne à l’illustration du livre une architecture et une impulsion nouvelles. Chaque sociétaire, doit acquitter un droit d’entrée et une cotisation annuelle. La société publie en moyenne un livre par an. Chaque ouvrage est illustré par un artiste soigneusement choisi et qui doit produire une oeuvre originale. Le tirage de chaque ouvrage […]

Les Artistes du livre chez Henry Babou. Troisième partie.

  Nous poursuivons la présentation des monographies des Artistes du livre (Les Artistes du livre, premiere partie; Les Artistes du livre, deuxième partie ), en continuant la chronologie des publications des publications préparées par l’éditeur Henry Babou. Marcel Vertès (1895-1961), peintre, graveur, illustrateur, décorateur de cinéma. Après avoir été élève aux Beaux-Arts de Budapest, il s’exile en France après la première guerre mondiale. A son arrivée à Paris, il étudie à l’Académie Julian et se fait connaître dans les années 20 pour ses lithographies. Il illustre des ouvrages de Colette et de Paul Morand. A partir des années 30, il travaille pour des magazines de mode comme Vogue, Harper’s Bazar, […]

MONTORGUEIL (Georges). Illustrations d’Henry SOMM. La Parisienne peinte par elle-même.

  Georges Montorgueil a beaucoup écrit sur le thème parisien et nous avons déjà présenté quelques uns de ses ouvrages dans ce blog : Les minutes parisiennes, La vie des boulevards Madeleine-Bastille, Paris, ses eaux, ses fontaines, Les parisiennes d’à présent, Croquis parisiens. Les plaisirs du dimanche. A travers les rues, La vie à Montmartre . Dans son ouvrage, La Parisienne peinte par elle-même, il dresse une série de portraits de femmes dans la société parisienne de la fin du XIXe siècle.  » La Parisienne est de partout, mais elle ne devient qu’à Paris, la Parisienne. Elle est alors la Parisienne dans toutes les classes et dans toutes les conditions. […]