MORIN (Louis). Illustrations de Henry SOMM. Les cousettes. Physiologie des couturières de Paris.

  Louis Morin (1855-1938). Ses premiers dessins sont publiés en 1880 dans La Caricature. De janvier 1900 à janvier, il coordonne et illustre La Revue des quat’saisons , charmante publication de la Belle Epoque. A partir de la fin de l’année 1900, il apporte sa contribution aux publications de l’éditeur Charles Meunier. Il est le fondateur de la Société des dessinateurs humoristes en 1904. Il réalise aussi des figures pour le spectacle du théâtre d’ombres du cabaret Le Chat noir. Ses dessins sont alors publiés dans l’Assiette au beurre et au Figaro illustré. Ce parisien, a aussi réalisé un bel ouvrage, Les dimanches parisiens . Henry Somm (François Clément Sommier) […]

BAUER (Gérard). Illustrations de Kees VAN DONGEN. La Parisienne.

  Gérard Bauër (1888-1967), journaliste, romancier, auteur de chroniques littéraires et dramatiques publiées dans divers journaux dont l’Echo de Paris puis le Figaro. Sous le pseudonyme de Guermantes à partir de 1935, ses analyses littéraires rencontrent un vif succès. Il dirige de 1934 à 1940, les Annales politiques et littéraires. Evoluant dans la brillante société parisienne de l’entre-deux-guerre, il en était devenu le romancier. Il obtient d’ailleurs en 1959, le Grand prix littéraire de Paris pour son roman Rendez-vous avec Paris . Depuis 1919, il a publié, Sous les mers, recensement de l’amour, Eloge du désordre, les métamorphose du romantisme, la Parisienne, Dix rendez-vous avec Paris , Instants et visages […]

GIRAUD (Robert). Illustrations de Lars BO. Les cris de Paris.

  Robert Giraud (1921-1997). Résistant, il échappe de peu à la mort et doit sa survie à la libération de sa ville natale Limoges, par le colonel Guingoin. Monté à Paris, il collabore à partir de 1945 à Franc-Tireur, Paris-Presse, France-Soir avant de se lancer dans une activité de bouquiniste. Il était aussi  chroniqueur à l’Auvergnat de Paris. Ce compagnon de route de Doisneau qui illustrera de ses photos certains de ses livres (Le vin des rues, Denoël, 1983, Le royaume d’Argot, Denoël, 1965) et de Prévert que l’on retrouve en compagnie du photographe dans Bistrots, était un parisien qui sut écrire sur la langue des titis qu’il fréquentait au […]