Description de la Colonne de la Grande-Armée. Description de la statue équestre de Henri IV sur le Pont-Neuf.

  Aujourd’hui deux rares plaquettes présentant deux statues emblématiques. La statue d’Henri IV sur le Pont-Neuf et la Colonne de la Grande Armée, place Vendôme. La Colonne de la Grande Armée inspirée de la colonne Trajane romaine, commencée dans le courant du mois d’août 1807, est érigée place Vendôme en 1810. Elle connait quelques vicissitudes. Au gré des régimes successifs, la statue de Napoléon Ier qui la couronnait disparaît ou réapparaît. Pendant la Commune la Colonne est abattue le 16 mai 1871. Sa reconstruction est finalisée en 1875 par l’architecte Alfred-Nicolas Normand. Notre plaquette date de la première érection de la Colonne. Elle décrit précisément le monument avec toutes ses […]

GUILLEMOT (Maurice). Illustrations de Eugène BEJOT. Entr’actes de Pierres.

  Maurice Guillemot (1859-1931) est un  homme de lettres, il a aussi été le fondateur de la société internationale des aquarellistes. Eugène Béjot (1867-1931) étudie d’abord à l’académie Julian. Il apprend la gravure avec Félix Bracquemond et Lepère. En 1893, il devient sociétaire des peintres-graveurs français et membre de la Société Nationale des Beaux-Arts. Il expose au Salon jusqu’en 1912. Il reçoit une médaille d’argent à l’Exposition universelle de 1900. L’oeuvre de Béjot est étroitement liée à Paris. Peu des aspects de la capitale lui échappent, les ponts en 1892, les squares et les jardins en 1896, les vieux murs en 1899, les monuments et les bateaux en 1903, les […]

DULAURE (Jacques-Antoine). Histoire physique, civile et morale de Paris depuis les premiers temps historiques. Panorama de la ville de Paris.

  Jacques-Antoine Dulaure (1755-1835) étudie les mathématiques, le dessin, l’architecture et la géométrie au collège de sa ville natale de Clermont-Ferrand.  Il se rend à Paris en 1779. Il commence à travailler dans le domaine de l’architecture et de la topographie avant de débuter une carrière littéraire qu’il met au service de son action politique sous la Révolution. Attaché au club des Jacobins, il est nommé en septembre 1792 à la Convention nationale par l’assemblée électorale du département du Puy de Dôme. Il vote la mort du roi. Inquiet de l’évolution des événements, il rallie les Girondins. Lorsque ces députés sont mis en accusation en octobre 1793, il se cache […]